Instruments

La trompette à pistons

Par : Xavier CAMIER

La trompette à pistons

Bonjour,
Singeant mon copain Mich je vais vous présenter mon instrument : la trompette. Vous verrez que ce
cuivre a une histoire et une portée bien plus étendue que ce que les clichés ne laissent paraître. Plus jeune j’avais une vision tronquée de l’instrument. Pour moi c’était bal musette et cavalerie. Mais, un jour, en allant écouter un concert du Réveil Musical j’ai été bluffé par un certain Dominique Lopez. Je ne me souviens plus quel était le thème du concert mais la fluidité de son jeu, la puissance que donnait sa trompette aux morceaux, les nuances qu’il exprimait avec son instrument raisonnent encore dans mon oreille. Ce serait la trompette car elle était moi !

Un peu d’histoire

Les premières trompettes furent trouvées en Egypte et datent de plus de 3000 ans. De formes diverses selon que l’on soit à Babylone, en Grèce ou en occident, son utilisation était principalement associée à la guerre et à la puissance. Si vous êtes amateur de péplum vous savez que les trompettes étaient très différentes de celles que nous connaissons aujourd’hui. Longues, cylindriques (parfois courbes) et sans pistons, le domaine de jeu était assez limité.

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Ne cessant d’évoluer la trompette connu deux révolutions. La première au XVème siècle lors de l’apparition de la coulisse. La trompette ressemblait alors à un mini trombone à coulisse. C’est d’ailleurs d’elle que naquit l’idée du trombone "moderne".

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La seconde révolution se produisit au XVIIIème siècle lorsque la coulisse fut remplacée par des clés ce qui donna à la trompette des allures de grande clarinette en métal. Plus précise et versatile elle était cependant incapable de jouer toutes les notes malgré diverses expérimentations et ajoutes de clés.

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Ce n’est qu’en 1813 que Bluehmel inventa la trompette à piston qui permit enfin de rendre une gamme chromatique complète (notes + notes altérées).

Morphologie de l’instrument

La trompette est un instrument à vent de la famille des cuivres. Il s’agit d’une classification commune mais vous vous doutez que l’instrument est fait d’un alliage de métaux plutôt que de cuivre pur. Il existe plusieurs types de trompettes (trompette à pistons, trompette à palette) et quelques variantes (bugle, cornet). Si leur son et leur domaine de jeu diffèrent, leurs caractéristiques techniques restent très proches. Sur le schéma suivant vous noterez 5 parties principales

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1 - L’embouchure est l’endroit où l’on souffle. Il en existe plusieurs types selon le style de jeu souhaité. C’est l’endroit où l’on pose les lèvres et où on les fait vibrer tout en envoyant de l’air dans l’instrument.
2 - Les coulisses d’ajustement servent à régler la justesse de l’instrument (à s’accorder). Lorsque l’on joue avec un orchestre il faut que les notes de tous les instruments de l’ensemble correspondent. Ces coulisses permettent d’affiner le réglage de la trompette et de la mettre en harmonie avec le reste de l’orchestre.
3 - Le corps est la partie qui va donner
la tessiture à l’instrument. Schématiquement, l’air pousse les vibrations que l’on produit dans l’embouchure vers le corps de la trompette. Le contact de ces vibrations avec les parois de l’instrument crée de nouvelles vibrations qui donnent le son de l’instrument.
4 - Les pistons servent à faire varier la taille du corps de l’instrument. Ce faisant les vibrations se transmettent sur plus ou moins de surface ce qui donne un son plus ou moins aiguë. Avec un peu d’observation vous remarquerez que plus les instruments sont petits, plus leur son est aiguë. Au contraire, plus les instruments sont volumineux plus ils sont graves. Le piston en bloquant / autorisant le passage de l’air fait varier mécaniquement la "taille" de l’instrument.
5 - Le pavillon est le distributeur, l’amplificateur de l’instrument. Il finalise le son en retransmettant les vibrations de l’instrument à l’air ambiant, un peu comme un haut parleur.

Quelques variantes de trompettes

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La trompette picollo. Beaucoup plus petite qu’une trompette classique elle joue beaucoup plus aiguë.

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Le cornet à piston. Bien que moins volumineux qu’une trompette, le cornet joue dans le même registre. Son son est un peu plus rond que celui d’une trompette mais aussi moins percutant.

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Le bugle est un faux ami. Il fait plus partie de la famille des saxhorns que de celle des trompettes mais son fonctionnement étant similaire à celui de la trompette je l’ai inclu ici. Le son est plus doux et rond qu’une trompette mais moins précis dans l’aiguë.

Comment jouer ?

Comme expliqué dans le chapitre morphologie, il suffit de poser les lèvres sur l’embouchure et de faire vibrer celles ci tout en soufflant. Plusieurs paramètres entrent alors en jeu. Selon que l’on fasse vibrer les lèvres plus ou moins "vite" le son sera plus ou moins aiguë. Selon que l’on souffle plus ou moins fort le son sera plus ou moins fort. La première leçon de trompette pourrait consister à explorer ces différents paramètres et à apprendre à connaître ses lèvres, à prendre quelques repères. Cette étape validée on peut alors explorer l’instrument et jouer avec les pistons. Vous l’aurez compris, 3 pistons ne veulent pas dire 3 notes possibles. Il s’agit de combiner la fréquence de vibration des lèvres et la position des pistons. Pour faire très simple imaginons un système de paliers :

puce-68c92 je serre peu les lèvres et souffle normalement => un son plutôt grave sera joué. C’est le palier 1. Ce son je peux le modifier en appuyant sur le premier piston. Ce son je peux le modifier en appuyant sur le premier piston et le second piston. Ce son je peux le modifier en appuyant sur le premier piston et le troisième piston...
puce-68c92 je serre moyennement les lèvres et souffle normalement => un son plutôt grave sera joué. C’est le palier 2. Ce son je peux le modifier en appuyant sur le premier piston. Ce son je peux le modifier en appuyant sur le premier piston et le second piston. Ce son je peux le modifier en appuyant sur le premier piston et le troisième piston...
puce-68c92 je serre fort les lèvres et souffle normalement => un son plutôt grave sera joué. C’est le palier 3. Ce son je peux le modifier en appuyant sur le premier piston. Ce son je peux le modifier en appuyant sur le premier piston et le second piston. Ce son je peux le modifier en appuyant sur le premier piston et le troisième piston...

... et ainsi de suite. Si on parle uniquement technique il suffit donc d’apprendre toutes ces positions et de les enchaîner à la vitesse voulue par le morceau. Si on parle d’art on ajoute un supplément d’âme qu’il est difficile d’exprimer par des mots.

Gamme de jeu

Une chose que j’aime dans la trompette est que la lecture de note y est plutôt facile sourire-a0223 La plus part du temps la trompette est jouée en clé de sol. Dans 90% des partitions les notes iront du sol grave (sous la portée) au contre UT (au dessus de la portée). Rien de bien exceptionnel quand on sait lire une partition. Ca c’est pour la pratique amateur. En réalité la trompette est capable de jouer plus aiguë (n’est ce pas Jordan). Vous avez des doutes quand je dis facile ? Lisez une partition de flûte traversière et vous comprendrez ce que je veux dire !

Qui peut en jouer ?

A cette question je ferais une réponse de normand. Tout le monde mais... Lors d’une discussion avec mon beau frère, j’ai appris l’existence de deux "écoles". D’un côté il y a la "latine" qui consiste à penser que l’envie, le travail et la passion suffisent à réussir. De ce fait, chacun choisi sans avis technique son instrument. Si un gamin veut jouer de la trompette et que ça ne pose pas de problème à la structure dans laquelle il veut apprendre alors il joue. De l’autre côté, il y a la vision "anglo saxonne", plus technique. Elle considère que toutes les morphologies (dans notre cas les lèvres) ne sont pas adaptées à tous les instruments et cherche à orienter le gamin sur l’instrument dans lequel il a le plus de chance de réussir. Je vous laisse choisir celle qui vous correspond le plus. La vérité est probablement quelque part entre les deux.
Beaucoup pensent qu’il faut 4 poumons pour jouer de la trompette. C’est faux. Je ne nie pas qu’il faille un certain souffle et un certain tempérament pour maîtriser l’instrument mais rien d’excessif. Certains considèrent la trompette comme un instrument très bruyant. La encore je nuancerais. Tout dépend du morceau et du contrôle que l’on a sur ce dernier. Ceci dit je déconseille la pratique à ceux vivant en appartement. Il vous serait presque impossible de travailler dans de bonnes conditions et une frustration quand à votre progression naîtrait rapidement.

Mon expérience

Je dois admettre que je suis loin du niveau qu’avait Dominique quand il m’a donné envie de jouer. Il n’y a pas de secret, pour progresser le temps de jeu est important. J’ai probablement laissé passer plusieurs occasions d’avancer lorque celles ci se sont présentées. La trompette est un instrument exigeant mais le jeu en vaut la chandelle ! Le peu dont je sois capable aujourd’hui je ne le lâcherais pour rien au monde. A mon niveau, et selon les morceaux, je peux passer dans l’instrument toutes les émotions qu’il m’est donné de ressentir. Puissance, mélancolie, fougue, volonté, colère, passion... Ca n’engage que moi mais jouer seul n’a pas grand intérêt. C’est quand je joue avec mes amis que je ressens le plus de plaisir. Quand un accord avec une clarinette ressort, quand un trio de cuivres s’exprime, quand je lis la satisfaction sur certains visages à la fin d’un morceau.

Section multimédia

Si ces mots ne vous suffisent pas je vous propose d’écouter quelques passages de cuivres où la trompette s’illustre avec brio. Avec qui ? clin_d-oeil-4cb3d
Un peu d’humour et de surprenant :

trompette ,il a 4 ans hallucinant non ?
envoyé par attila_71

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envoyé par orchidee67
Application de la trompette dans la musique classique, le jazz... :

Joseph Haydn. Trumpet concerto
envoyé par madafonka2

Chet Baker Funny Valentine
envoyé par trombone-usa
Application de la trompette dans les musiques de films (chic chic chic)

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Love Pledge and the Arena
John Williams

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Blade Runner Blues
Vangelis

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On her Majesty Secret Services
Propellerheads

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The Ring Goes South
Howard Shore

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March of the Slave Children
John Williams
Post-scriptum
J’espère que cet article vous aura éclairé. Si vous désirez en savoir un peu plus sur la trompette je vous invite à suivre ce lien et tous les liens connexes.
A bientôt...

Le Cor d’Harmonie

Par : Michaël LEFEBVRE

Le Cor d’Harmonie

J’ai commencé a apprendre le cor d’harmonie a l’âge de 10 ans. Ce qui m’a motivé est que je connaissais un musicien de l’harmonie de Douai et parfois il m’emmenait aux répétitions et quand les 3 cors jouaient, il ressortait une sonorité unique, un ton "guerrier" ( sourire-a0223 Xavier me comprendra ) ou inversement (très doux) qui m’a tout de suite fait dire "je veux jouer de cet instrument" et voilà l’aventure commença...
Je vais donc vous le présenter
Le cor est l’un des instruments les plus anciens de l’orchestre moderne. Son origine provient de la corne d’animal dans laquelle les chasseurs primitifs soufflaient pour produire des sons dont la portée pouvait dépasser plusieurs kilomètres. L’instrument quitte rapidement son origine animale pour être manufacturé en métal, muni d’une embouchure. Certains exemplaires de ces instruments fabriqués en bronze, sont datés de six siècles avant Jesus-Christ. Ils étaient utilisés sur les champs de bataille pour émettre des signaux et pour terroriser l’ennemi. Leur sonorité était alors très agressive et peu nuancée.

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Le statut de la chasse comme un discriminant social et aristocratique a alors conduit les facteurs a raffiner le cor de chasse, sans piston, fonctionnant ainsi entièrement sur le contrôle de la colonne d’air de l’instrumentiste. Celui-ci produit des hauteurs différentes en "balayant" le spectre de la fondamentale de l’instrument.

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Dans son "harmonie universelle" (1636), Marin Mersenne dénombre quatre instruments principaux : "le grand cor", "le cor à plusiers tours", "le cor qui n’a qu’un seul tour", et "le huchet".   Pour permettre au corniste d’émettre d’autres sons que les harmoniques du spectre de sa fondamentale, diverses techniques ont été mises en oeuvre à partir du XVIIIè siècle. La première consistait à rallonger la longueur du tuyau grâce à des rallonges de tailles diverses, changeant ainsi la fondamentale de l’instrument. La seconde due à Anton Hampel (1711-1771) consistait à introduire la main dans le pavillon, abaissant ainsi la hauteur naturelle de la note émise.

cornat-06f23   C’est seulement au tout début du XIXe siècle qu’ Heinrich Stölzel invente le cor chromatique, muni de pistons permettant de parcourir tout son ambitus, demi-ton par demi-ton. Enfin, c’est au milieu du XIXe siècle que Fritz Kruspe donne au cor sa forme définitive en fabriquant le "double-cor", capable de sonner en fa et en si bémol, suivant une technique similaire au trombone ténor / basse.
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Le Cor est assimilé maintenant à est un instrument à vent, de la famille des cuivres. Il est caractérisé par un tube à paroi mince et à perce étroite, par un pavillon évasé et d’une embouchure. L’embouchure du cor est de petite taille et de forme intérieure conique ("qui fait faire beaucoups de canards sourire-a0223 ") , différente de celles de la trompette et du trombone qui sont hémisphériques et plus larges.

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Cette forme conique se retrouve tout le long du tube jusqu’au niveau du pavillon. On dit alors de cet instrument qu’il est à perce conique, tout comme le sont le cornet à piston, les saxhorns... Cette perce donne de la douceur au son de ces instruments, contrairement à la perce cylindrique (comme la trompette) qui produit un son plus brillant.

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Le corniste produit les notes de la gamme par vibration des lèvres sur l’embouchure. Sa main gauche active trois (quatre ou cinq) palettes ( "quatre pour ma part"), pour changer la hauteur du son. Ces palettes, semblables aux pistons de la trompette, permettent de jouer les notes rapidement, plus facilement qu’avec le trombone La main droite est placée dans le pavillon pour soutenir l’instrument. Elle permet aussi de corriger la justesse, ou d’effectuer des sons bouchés ("comme dans le Roi lion pour ceux qui connaissent").

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L’instrumentiste peut être amené aussi à utiliser une sourdine pour atténuer les sons...

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Outre ses qualités techniques lui permettant de nos jours une surprenante virtuosité, il a accès à un vaste champ expressif. Sa sonorité peut être colorée de toutes les manières selon qu’il joue ouvert (sons naturels), bouché avec la main dans le pavillon, en sons cuivrés (" oui j’aime bien clin_d-oeil-4cb3d ") ou avec une sourdine (voir ci-dessus). Dans Otello, il est utilisé au début pour évoquer la tempête, puis plus loin pour symboliser l’ivresse. Il est aussi très présent dans les musiques de films américain,avec des compositeurs comme Hans Zimmer, James Horner, John Barry sans oublier John Williams, qui ont su l’utiliser pour de splendides mélodies. En solo dans le thème de Princesse Leia - Star Wars (écouter l’extrait), le cor est particulièrement utilisé pour de splendide contre-chant comme dans One Last Shot - Pirates des Caraïbes , E.T, Gladiator, Independance Day etc... .
Résumé :
Taille  : La taille du cor est variable. Le tuyau déroulé, il peut mesurer 3 mètres, et jusqu’à 9 mètres pour un cor double.
Cor déroulé
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Comment est-il fabriqué ?  : Il est fait en laiton comme la trompette. Le cor utilisé dans les orchestres est appelé cor d’harmonie, il est d’origine allemande. C’est un cor double, autrement dit deux cors en un.
Comment en joue-t-on ?  : Le cor nécessite des lèvres et des poumons puissants (..."c’est pour ça que je joue fort" sourire-a0223 ). La main gauche agit sur des palettes pour varier les notes. La main droite s’insère dans le pavillon pour en modifier certaines.
Les différentes partie du cor 400px-French_horn_back_labelled-2-c758a 400px-French_horn_front_labelled-2-eb1aa
1.Embouchure  : Pièce en forme d’entonnoir, caractéristique des instruments de la famille des cuivres, sur laquelle le musicien pose les lèvres pour les faire vibrer. 2.branche principale ou branche d’embouchure  : début du tube du cor sur lequel se fixe l’embouchure. 3.Patte d’oie (optionnel) : La patte d’oie permet de bloquer tout glissement de l’instrument dans la main, en prenant appui sur le coté de la main entre le pouce et l’index. Il existe un autre dispositif pour maintenir l’instrument : le crochet (voir ci dessous). La patte d’oie n’est présente que sur les cors modernes. 4.Palettes   : touches sur lesquelles le corniste pose ses doigts. Par un système de tringlerie, les palettes permettent d’actionner les pistons. Les palettes ne sont présentes que sur les instruments ayant des pistons rotatifs ou viennois. 5.Crochet (optionnel) : second dispositif, avec la patte d’oie, servant à tenir l’instrument. Il empêche l’instrument de glisser en le retenant au petit doigt. L’apparition du crochet est plus ancienne que celle de la patte d’oie, et remonte aux premiers cors chromatiques. 6.Barillets  : Pour être plus précis il s’agit de pistons rotatifs. Le barillet est la partie tournante du piston rotatif (non visible). 7.Clé d’eau (optionnel) : il s’agit du petit clapet permettant de vider l’eau rapidement. Il tient sans doute son nom par analogie avec les clés des clarinettes, hautbois et autres flûtes. 8.Tonnerre  : Il s’agit du début du pavillon. Le tonnerre est donc l’endroit où le tube s’évase, c’est-à-dire là où la conicité du tube, jusque là constante, se termine. Le diamètre du tonnerre joue sur le timbre de l’instrument. 9.Pavillon  : Extrémité finale du tube par laquelle le son sort. Le pavillon permet d’amplifier le son. Certains pavillons peuvent être dévissables, ce qui facilite le rangement et le transport de l’instrument. Les pavillons peuvent être aussi décorés : - d’une peinture à l’intérieur. - à l’extérieur par l’ajout d’une guirlande gravée. 10.Pompes  : Section de tube amovible (pour affiner l’accord et pour vider l’eau), mise en jeu par l’ouverture des pistons. Elles sont au cor à pistons ce que les tons sont au cor naturel. A ne pas confondre avec les coulisses d’accord. 11.Coulisses d’accord   : parties de tube mobiles permettant l’ajustement précis de la longueur du tube, c’est-à-dire de l’accord de l’instrument. Sur les cors naturels et sur les cors simples on ne trouve qu’une seule coulisse d’accord. Sur les cors doubles on en trouve soit : trois : une coulisse pour l’accord général, une pour le cor en fa, une pour le cor en Sib. deux : une pour le cor en fa, une pour le cor en Sib. A ne pas confondre avec les pompes. 12.Porte crayon (optionel) : petit gadget récent mais bien pratique. Le porte crayon est une double pince en plastique noir qui, d’un côté, se fixe sur l’instrument et de l’autre coince le crayon. Il existe un version petit diamètre pour cors et trompettes et une version gros diamètre pour trombones et tubas.
Grands interprètes  : Michaël LEFEBVRE clin_d-oeil-4cb3d, Georges BARBOTEU, Gilbert COURSIER, Daniel DUBAR, Michel BERGES, Pierre Del VESCOVO, Jean-Jacques JUSTAFRE, Jean-Paul GANTIEZ, Jean Claude BARRO, Alain COURTOIS.
Un peu d’humour sourire-a0223
La relève est assurée...

180px-Corniste-01a4d Corniste jouant de trop avec le son bouché

Multimédia : Quelques extraits incontournables et un grand classique au cor

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E.T.
John Williams

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Gladiator
Hans Zimmer

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Pirates des Caraïbes
Hans Zimmer

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Star Wars : le thème de Leia
John Williams

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ID4
David Arnold
J’espère que cet article vous a permis de mieux connaître mon instrument et pourquoi pas, vous a donné envie de vous y mettre et de renforcer nos rangs et si vous voulez une description complète ,je vous invite a visiter le site Wikipedia.